La Plume de Sara
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ÉCRIVONS le passé et rêvons l'avenir

Une lueur brille dans nos yeux quand passion et talent se rencontrent

Positivons

10/31/2019

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Petite entrée en matière : ce texte participe à un carnaval d’articles inter-blogueurs autour de la thématique suivante : “Mes conseils pour cultiver un état d’esprit positif” organisé par Céline Carel. Son blog est super joli et bien rempli aussi, pour les vegans ou les curieux elle a plein de recettes vegan là : ici et pour les amoureux de lecture, ne passez pas à côté de ses recommandations, c'est si joliment écrit par là.

La vie, chers amis, est une série de hauts et de bas. Vous devez le savoir maintenant, de par notre nature d’êtres non ailés, nous ne volons haut que pour souffrir la douleur d’une chute colossale. Mais nous ne sommes pas non plus faits pour vivre dans les tréfonds du monde, nous finissons éventuellement par remonter la pente. Et puisque les événements de la vie, les catastrophes naturelles, les volontés des uns et des autres ne se plient pas à nos quatre volontés, nous ne pouvons pas maîtriser les péripéties que nous nous devrons d’affronter. Mais nous sommes maîtres de nos propres réactions, de notre attitude face à chacune de nos chutes et de notre manière de nous relever. Alors il faut apprendre à cultiver un état d’esprit qui nous permette d’être parés au pire. Je ne suis pas en train de dire qu’il ne faille pas pleurer quand on perd un être cher, et que nous ne devions pas broyer du noir quand la joie nous tourne le dos. Je vous propose de vous laisser vivre et de trouver le moyen de courir après ce bonheur qui vous quitte. Le bonheur et la vie n’attendent personne, sachez-le. Du haut de mon petit quart de siècle, je vous livre donc la manière que j’ai choisie à chaque fois pour m’en sortir. Je ne vais pas vous faire un exposé avec un petit un puis un énorme deuxième point, pour finir avec un résiduel trois pour étirer ma démonstration. Faisons les choses différemment, laissez-moi vous livrer de la plus simple des manières mon expérience. Lisez mon texte un passage après l’autre, une petite histoire à la suite de l’autre et laissez-vous embarquer pour que mon message vous touche.
Depuis toute petite, j’ai été bercée par des contes de fées de tout genre qui ont pour seul point commun leur fin doucement tendre et heureuse. Alors j’estime qu’après toutes les épreuves à surmonter, un prince charmant, un rêve accompli ou un projet abouti nous attend. Et c’est cet espoir que les choses finissent toujours bien qui me fait tenir le coup. En effet, L’espoir fait vivre. Quand j’étais au collège, comme tous les adolescents, je n’ai pas rencontré que des amis, j’ai eu mon lot de crêpage de chignons quoique je n’ai été qu’inoffensive. J’étais un peu moche et un poil trop intelligente ou pas assez, paraît-il.  J’ai donc eu droit à quelques douces taquineries de la part de personnes que je prenais pour des amis. J’ai été humiliée et j’ai vu mes secrets dévoilés. J’ai pleuré comme l’aurait fait toute adolescente à ma place. Pleuré et pleuré. Puis, aussi étonnant que cela puisse paraître, j’ai pardonné. Mais je n’ai pas oublié comme vous pouvez le constater. J’avais néanmoins gardé un peu de rancune dans mon cœur et la petite Sara persuadée de pouvoir aimer tout le monde n’en voulait pas. Alors je l’ai enfouie en moi. Ma rancune. Et je suis simplement passée à autre chose sans me rendre compte que ce petit incident avait changé mon approche de l’amitié. Je ne voulais plus être amie avec des filles, tout simplement. Quand la révélation fut, j’ai choisi de livrer cette faiblesse à un journal intime. Et c’est là que j’ai commencé à écrire pour panser mes blessures.
Depuis, dès que je vais mal, que je suis faible, j’écris. J’écris pour garder une trace de ce que je ressens. Pour qu’en pleine épiphanie, je puisse me rappeler de ne pas prendre les gens et les bonheurs pour acquis. Et j’écris mes joies, mes amours et mes accomplissements pour sonner la cloche de l’espoir quand je suis au plus bas. L’une des plus belles choses que l’écriture et cet exercice de journal intime m’ont appris, c’est le travail sur soi et l’introspection. Je prends le temps tous les jours de repenser le fil de ma journée, je me pose quelques questions et je m’apporte des réponses. Qu’ai-je le mieux fait ? Qu’ai-je raté ? Ai-je fait du mal autour de moi ? Ai-je donné du bonheur et de la joie ? … Le but de ces questionnements étant de tirer de belles conclusions de chaque journée et de corriger autant que je le peux mes faux pas. Avec ce travail continuel sur moi, ma qualité de vie s’est améliorée. Je sais continuellement que si une chose me rend malheureuse, je ferai tout pour adapter mon approche et remédier à ma maladresse. Tout pour retrouver le sourire.
L’un des éléments également très importants dans ma quête du bonheur et de la positivité au quotidien est mon entourage. Penser positif, c’est s’entourer de personnes positives. Ne laissez pas tomber vos amis qui dépriment pour autant, au contraire aidez-les à reprendre goût à la vie. Mais essayez surtout de ne pas laisser votre joie de vivre se faire dévorer par tous les malheurs des autres.
A un moment de ma vie, le défi était de me poser pour me demander si j’étais heureuse depuis son décès de celui que j'aimais. A la suite de cette perte, j’avais un vide que je voulais simplement combler. J'ai donc laissé différentes personnes en un lapse de temps assez court s'accaparer une place dans mon quotidien. Et je sais bien qu’avoir du recul quand on est dans une relation n’est pas facile, mais il aurait fallu que je me demande à chaque fois si la personne qui partageait ma vie me rendait heureuse. Me chargeait-il d'ondes positives au quotidien ? De soutien ? Non. Je le savais mais je continuais à m'entêter. Je laissais ces personnes m'emplir d'encore plus de haine et négativité. Ces personnes qui me rappelaient sans cesse que j'avais pris du poids et que j'en devenais beaucoup moins belle, que mes cheveux bouclés sont d’une mocheté à en pâlir Shrek lui-même, que je ne m'en sortirais jamais, que leurs rêves étaient plus importants que les miens. Ces personnes qui doutaient de moi et qui m'étouffaient. C'était vraiment la recette pour casser la personne la plus positive du monde. Alors il a fallu apprendre à m’en défaire.  
Autre recommandation, évitez le vide. Moi qui disais ne pas structurer ce texte, me voilà en train d’énoncer les points importants à la manière d’un professeur académique. Vous m'en excuserez. Revenons-en aux faits. Eviter le vide c’est éviter la lassitude et l’ennui. Si vous êtes fatigués, reposez-vous mais ne faites pas le paresseux pendant des jours et des jours. C’est un cercle vicieux. Inscrivez-vous dans un club, dans une salle de sport. Faites de la danse, du chant, de la natation, peu importe, mais faites des choses que vous prenez goût à pratiquer pour arriver facilement à maintenir cette pratique. De mon côté, j’écris, je lis, je fais de la photo depuis peu et j’adore chanter non pas que je sois douée, mais ces choses m'amusent.
J'arrête m’étaler, je vois défiler les lignes sans fin et je sais que je pourrais parler des changements que j’ai apporté à ma vie pendant longtemps pour en être là où je suis aujourd’hui et là où je voudrais être dans un an… Je veux donc finir avec de simples conseils pour résumer, en deux lignes. Je vous le promets. Messieurs, Mesdames, trouvez votre échappatoire pour affronter les épreuves les plus dures de la vie. Relativisez toujours. Il y a toujours pire fin que celle que vous vivez. Et entourez-vous bien. Pensez introspection et espoir et vivez de la sorte. Le sourire est contagieux, si vous l'avez, vous l'apportez aux autres.
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